« VA AVEC LA FORCE QUI T’ANIME, JE SERAI AVEC TOI ! » Juges 6, 14-16

Une belle et bonne rencontre nationale riche, fructueuse en partage et enseignement, regroupant 190 participants (religieux-religieuses) venus de toutes les régions de France, dont trois Sœurs du Sacré Cœur de Jésus.

IL Y EUT UN AVANT avec :

  • une invitation à lire, méditer le Livre des Lamentations et à repérer dans ces poèmes douloureux une espérance qui peut nous guider aujourd’hui.
  • une invitation, pour chaque équipe Fédéar, à retenir de ses partages de Révision de Vie, une expérience sous forme de Lamentation, à l’envoyer au Secrétariat national, pour un regroupement et la constitution d’un « Livre des Lamentations »pour aujourd’hui.

UN PENDANT

  • « Seigneur regarde ce qui nous arrive !» : veillée liturgique d’ouverture où fut déposé un sac à dos contenant notre« Livre des Lamentations pour aujourd’hui » : préoccupations, inquiétudes, déceptions, questions, réalités douloureuses à porter, mais aussi germe de vie, transformation qui appelle à de nouvelles fécondités.

  • « Que fais-tu de la force de ton appel ? Va avec la force que tu as !» Intervention biblique de Gérard BILLON, prêtre vendéen, bibliste,  président de l’Alliance Biblique Française. Intervention théologique de Marie-Laure DURAND, docteur en théologie, en charge de l’École d’interprétation biblique.
  • « Nous sommes l’espérance de Dieu » Ce dimanche matin nous nous rassemblons sur les bords de la Maine(rivière qui rejoint la Loire et traverse la région d’Angers) pour une contemplation méditative de ce cours d’eau et de ses abords et un temps de prière commun.
  • « S’inscrire dans un temps qui percole. »Marie-Laure DURAND, pour aider à entrevoir l’avenir de la Fédéar nous invite à regarder la vie à l’image d’une rivière subissant contre courants, temps d’eaux calmes, perditions (évaporation de l’eau), etc. L’eau passe, c’est l’histoire d’une vie ! Alors elle nous convie à revisiter notre vision de l’espérance emprisonnée dans nos limites, à repérer la vie, à bâtir une contre-culture. Le principal obstacle, dit-elle, est l’étroitesse de notre imagination qui doute de l’avenir. Or la vie est là et Dieu se révèle en nos vies.

  • UN ENVOI
  • “Va, je t’envoie”

Va, je t’envoie, loin de ta peur

Va, je t’envoie, je suis avec toi

Va, je t’envoie, libre dans ton cœur

Va je t’envoie, j’ai besoin de toi !

(Chant de la rencontre nationale : Paroles et musique d’Yves Bouchet, Lazariste)