Fondations à l’étranger

Au Béchuanaland. Jamais l’humble Institut n’avait songé à la gloire d’étendre ses rameaux hors de Bretagne, ni surtout au-delà des mers. Il vivait modestement, inconnu au monde, et ne pouvant exercer sa charité que dans un cercle bien étroit. Pourtant, depuis les premières expulsions de religieux, la crainte de se voir chassées à leur tour avait éveillé chez plusieurs sœurs le désir de l’apostolat, et elles étaient prêtes à partir pour les pays étrangers, (...). C’est alors qu’elles furent mises providentiellement en relations avec les Oblats de…

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Fondations en France

Orphelinats. Au lieu d’ébranler la Congrégation, les persécutions religieuses n’avaient fait que l’affermir. (...) Jamais le noviciat n’avait été aussi florissant ni les professions aussi nombreuses qu’aux environs de 1900. Il fallait trouver un emploi pour toutes ces activités, qui ne demandaient qu’à se dépenser pour la plus grande gloire de Dieu. (...) Les entraves apportées au fonctionnement de leurs écoles déterminèrent les supérieures à élargir le cercle de leur influence. C’est alors que des personnes dévouées aux œuvres catholiques les firent connaître à M. le marquis…

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Mort d’Angélique

La vénérable sœur Saint-Jacut n’eut pas la joie d’assister à ce développement de l’œuvre qu’elle avait fondée. Avant d’aller recevoir au ciel la récompense de ses mérites, elle avait eu la douleur de voir mourir ses trois compagnes : Françoise Richard dès 1820, Julienne Monnier en 1833, et Jeanne Monnier en 1834. Elle-même, éprouvée depuis longtemps par des infirmités très douloureuses, mourut le 16 novembre 1835, à l’âge de soixante-huit ans. Sa mort fit un grand vide dans la communauté, dont elle était l’exemple et l’édification. Par…

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Premières fondations

Les postulantes commencèrent bientôt à affluer, et le jour vint enfin où les Sœurs purent donner une réponse satisfaisante aux paroisses qui leur demandaient des institutrices. C’est en 1839 qu’elles fondèrent leur premier établissement, celui de Saint-Congard. Un second fut fondé à Peillac en 1842, puis deux autres en 1846, à Caden et à Saint-Gorgon. Conformément au double but de leur institution, chacun de ces établissements comprenait une Sœur pour visiter les malades, une ou deux pour faire la classe, et quelquefois une Sœur converse chargée de…

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